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La mémoire de la bataille

 

 

EXPOSITION

LE PHENOMÈNE D’AUSTERLITZ

 

A – L’HISTOIRE DU MONUMENT DE  LA PAIX

B – LA MÉMOIRE HISTORIQUE, LES INSPIRATIONS D’AUSTERLITZ

C – LE CHAMP DE BATAILLE D’AUSTERLITZ – LES MONUMENTS – ÉPILOGUE D’AUSTERLITZ

D – LES RÉPERCUSSIONS ET TRADITIONS DE LA BATAILLE

 

 

 

A – L’HISTOIRE DU MONUMENT DE LA PAIX

 

Ecran A, Programme 1 : L’histoire du Monument de la Paix (musée de la région de Brno)

Ecran A, Programme 2 : La visite du délégué militaire italien, 1922 (archive cinématographique nationale)

Ecran A, Programme 3 : L’ambassadeur soviétique en Tchécoslovaquie V. Zorin en visite, 1946 (court métrage film Prague)

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Vitrine A1 : Qui honore les morts, honore lui-même ! (Alois Slovak)

Le gouvernement, l’armée ou l’église n’ont joué aucun rôle lors de la création du monument. Il s’agit d’une œuvre de citoyens. Des gens qui savent que le respect des victimes des guerres, sans distinction entre les parties, le respect vis-à-vis de la mort majestueuse fait partie de la vie dans la dignité.

Vitrine A2 : Honorable monsieur l’architecte, ne nous abandonnez pas !

Deux architectes réputés ont participé à la compétition du meilleur plan du monument : August Kirstein (1856-1939) et Josef Fanta (1856-1954). Fanta a proposé en 1905 six plans, dont un, le plan gagnant, portait le nom « Le Monument de la Paix ». Mais il n’a fourni les plans que cinq ans plus tard, suite à de nombreux rappels. Le rappel de mai 1909 se termine par : « Honorable monsieur l’architecte, ne nous abandonnez pas ! ».

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Le rêve matérialisé

Les travaux de construction ont commencé le 22 juin 1910. Le rêve de rendre honneur aux victimes de la bataille d’Austerlitz s’est, après des années d’effort et de préparations, matérialisé …

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Heureux celui qui le connaissait

« Si le grand Napoléon a dit à ses soldats après la bataille qu’il leur suffirait de dire ‘j’étais à la bataille d’Austerlitz’ pour que l’on réponde ‘Voilà un brave’, il suffira à tous vos élèves de dire ‘j’étais un des élèves du professeur Slovak’, pour qu’on entende ‘Voilà un chanceux’ ! » (extrait du discours de A. V. Kozisek à l’enterrement du professeur Slovak).

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Vitrine A5 : Interfecti mei resurgent

Interfecti mei resurgent – Mes frères qui ont été tués ressusciteront. Les paroles du prophète de l’Ancien Testament, situées au-dessus de l’entrée dans la chapelle, définissent bien le symbolisme de ce lieu. La chapelle n’a jamais été (entre autres pour des raisons de disputes avec l’évêché de Brno pendant la période de construction du monument) bénie mais reste, comme prévu, l’endroit où les ossements des gens tués durant la guerre sont déposés, un endroit de respect pour la grandeur de la mort.

Vitrine A6 : Le Monument au fil du temps ou le Monument de la Paix sur les cartes postales.

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Le monument entre dans la conscience collective

Après la première guerre mondiale, dont l’éclatement a empêché l’ouverture solennelle du monument au grand public, le Comité a remis le monument en 1923 à une institution professionnelle, l’Association étrangère du pays. Le Monument de la Paix est resté sous sa protection jusqu’à sa dissolution en 1952.

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Vitrine A8 : Métamorphoses de l’exposition

En 1925 était construit le bâtiment du musée et le « musée des mémoires de la guerre ». Depuis ce temps, l’exposition a subi plusieurs métamorphoses pour arriver à l’exposition multimédia actuelle, « La Bataille des Trois empereurs. Slavkov/Austerlitz 1805 », dont une partie est représentée par cette exposition « Le Phénomène Austerlitz », consacrée à la « deuxième vie » de la bataille d’Austerlitz et les guerres napoléoniennes.

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Vitrine A9 : 1945 – 2010

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Ecran B : « Austerlitz » épisode du film « La guerre et la paix » (réalisation S. Bonartchuk, Mosfilm Moscou).

 

 

 

B – LA MÉMOIRE HISTORIQUE, LES INSPIRATIONS D’AUSTERLITZ

 

Au moment où le soleil se couchait sur le champ de bataille le 2 décembre 1805, la bataille d’Austerlitz entamait sa deuxième vie. Elle entra dans les récits des soldats et des hommes politiques, des auteurs de chroniques et plus tard dans les mémoires des participants de la bataille. Les travaux historiques des auteurs connus ou moins connus sont basés là-dessus. La bataille est très tôt devenue le sujet principal des œuvres d’art – de la littérature, du théâtre, de la musique classique et, plus tard au 20e siècle, même du cinéma. Dans la région où le folklore s’est pratiquement éteint, la bataille d’Austerlitz devient une grande inspiratrice de la création folklorique.

Vitrine B1 : Très tôt le matin la mélasse commença (chroniques de l’époque)

La plupart des témoignages locaux sont recueillis dans des chroniques municipales et paroissiales. Ils ne contiennent pas de détails sur la bataille ; ils se concentrent plutôt sur des événements qui y sont liés.

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Vitrine B2 : Dans le miroir des correspondances, de la presse et des mémoires

Les chroniques, les rapports et les comptes rendus de l’époque, la presse quotidienne, correspondance personnelle ainsi que diplomatique avec, plus tard, les mémoires, représentent une mosaïque qui forme une image pittoresque et éclectique de la bataille.

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Vitrine B3 : Vu par les historiens

La littérature historique spécialisée sur la campagne de 1805 et sur la bataille d’Austerlitz elle-même est extrêmement riche. Elle comprend des centaines, voire des milliers de titres. La bataille d’Austerlitz revit également dans l’historiographie contemporaine.

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Vitrine A4 : Images de la guerre

Parmi les dessinateurs, peintres et graphistes de l’époque qui ont pris la place des photoreporters et caméramans modernes, se sont distingués notamment les français Louis-François Lejeune, François Pascal Simon Gérard et Horace  Vernet. Leurs œuvres ont été souvent imitées par des artistes et copistes connus ou anonymes, avec ou sans guère de talent.

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Vitrine A5 : Médailles, graphismes, timbres

Un moyen très prisé pour représenter les succès militaires et politiques étaient les médailles. C’était le cas aussi pendant les guerres napoléoniennes. Ce sujet fut bien représenté par J. D.V. Denon. Les guerres napoléoniennes et surtout la bataille d’Austerlitz sont les sujets des médailles et œuvres graphiques de Karel Zeman. L’histoire militaire et, dans son cadre, les guerres napoléoniennes sont le sujet de l’œuvre de la vie de Karel Toman.

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Vitrine A6 : La guerre et la paix

La bataille d’Austerlitz et la campagne de 1805 représentent un épisode important d’un des plus remarquables actes artistiques de la littérature mondiale, l’épopée de Lev Nikolaïevitch Tolstoï (1828-1910), « Guerre et Paix ». Tolstoï a atteint dans ce roman une bravoure littéraire ainsi qu’une bonne connaissance des faits historiques. Le roman « Guerre et Paix » a été interprété plusieurs fois pour le théâtre et pour le cinéma, un opéra du même nom a été écrit basé sur le troisième volume de l’épopée par le compositeur Sergueï Prokofiev (1891-1953).

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Vitrine A7 : Le sang coulait en Moravie …

La bataille d’Austerlitz a inspiré également les œuvres populaires. On peut le sentir notamment dans les chansons. Les événements de la guerre sont aussi reflétés dans les histoires, les légendes, dans les coutumes et l’oral.

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Display case B8 : Les arts appliqués

Les arts appliqués ont saisi le sujet des guerres napoléoniennes à leur manière.

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Vitrine B9 : La musique gagnée dans la bataille

Le sujet de la bataille d’Austerlitz ne manque pas dans les œuvres par les auteurs de la musique classique. Parmi les premiers étaient l’auteur silésien G. Rieger ou bien l’auteur français L. E. Jadin. Récemment, à l’occasion du 200e anniversaire de la bataille d’Austerlitz, le sujet fut utilisé par un compositeur et professeur d’université de Brno, Milos Stedron.

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Vitrine B10 : Belles lettres, théâtre, cinéma

La bataille d’Austerlitz a inspiré un grand nombre d’écrivains, poètes et cinéastes. La première œuvre de la littérature tchèque ayant pour sujet la bataille d’Austerlitz est un long poème épique écrit par Vaclav Frantisek Hrib (né en 1760). La première pièce de théâtre qui traite du sujet de la bataille était jouée dès mai 1806. La bataille apparaît plusieurs fois au cinéma, en dehors de l’adaptation du roman « Guerre et Paix ».

 

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Les niches dans le corridor B

L’histoire du comte Tiesenhausen

Reconstruction d’une fosse archéologique avec les objets trouvés

 

 

 

C – LE CHAMP DE BATAILLE D’AUSTERLITZ – LES MONUMENTS

 

Vitrine C2 : Les autres monuments

Sur le champ de bataille se trouvent, exceptés des monuments liés à la bataille et du monument central, celui de la Paix, quelques dizaines de monuments et mémoriaux de différentes tailles. Les initiateurs de construction de ces monuments étaient et sont les membres du club de l’histoire militaire, des collectifs napoléoniens, les communes et les particuliers – les gens qui savent que le respect des gens morts durant la bataille, le respect devant une mort héroïque, sont des destins respectables.

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Vitrine C3 : Uniforme d’un membre du corps des citadins et des tirailleurs de Brno

Le corps des citadins et des tirailleurs de Brno a joué un rôle important lors de l’occupation française.

Vitrine C4 : Slavkov u Brna/Austerlitz, le paysage après la bataille

Le paysage après la bataille donnait une image de misère et de souffrance. Les conséquences de la bataille – les propriétés détruites, les épidémies et la famine – causèrent plusieurs années très difficiles pour les gens locaux …

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Vitrine C5 : Les pertes

Les pertes humaines pendant la bataille ne sont pas faciles à chiffrer. Notamment en ce qui concerne les alliés, il ne s’agit que d’estimations. C’est la raison pour laquelle les sources et la littérature donnent des chiffres différents. Les plus grosses pertes furent du côté russe. D’après le rapport de Koutouzov, il dut y avoir 23 502 morts, blessés, prisonniers et portés disparus, et d’après une autre source la garde devait perdre 1 900 hommes. Le nombre de soldats russes morts et blessés est estimé à environ 15 000. Les pertes du côté autrichien représentent d’après les sources locales 5 922 hommes dont environ 1 800 morts et blessés. Les pertes dans l’armée française étaient, d’après la source française Archives du Service historique de l’état-major de l’armée, 8 649 (ou 8 279) hommes, dont 1 389 morts et 7 260 blessés. Mais il est possible que ce chiffre ait été sous-évalué volontairement …

Le nombre total des hommes morts, blessés, capturés ou portés disparus dans la bataille d’Austerlitz est de presque 26 500, c’est-à-dire 16 à 17 % de tous les soldats sur le champ de bataille. Le nombre des morts est estimé à entre douze et vingt mille.

 

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Vitrine C6 : Brno

Brno fut occupée par les français à partir du 19 novembre 1805. Après la bataille, la peur de la mort a quitté le champ de bataille pour s’installer à Brno. La ville, pleine de blessés et de mourants, soldats ainsi que civils, fut bientôt atteinte par l’épidémie de typhus. La situation dans la ville était tellement dangereuse pour la santé et la vie, que les diplomates négociant la paix ont eu le temps de signer un seul contrat : le 10 décembre, au palais du gouverneur, le ministre des affaires étrangères de France, Talleyrand, et le chargé d’affaires de l’électeur bavarois Maxe Joseph, le baron Gravenreuth, ont confirmé, comme un des résultats géopolitiques de la bataille d’Austerlitz, la promulgation du Royaume de Bavière. La ville a souffert pendant plusieurs semaines. A partir de la deuxième moitié du mois de janvier 1806, après le départ des français, les maladies commencèrent à disparaître et la ville se mit au nettoyage intégral et à la désinfection.

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Vitrine C7 : Retrait des vaincus, retour des vainqueurs

Après la bataille, les armées des alliés, notamment l’armée russe, se sont retirées vers le Sud, derrière la frontière de la Hongrie, d’où elles rentrèrent dans leurs pays. Les restes de l’armée russe restèrent rassemblés jusqu’au début du mois de janvier 1806 près de Dubno – au même endroit d’où partirent les soldats en campagne contre les français. Les forces autrichiennes gagnèrent – après la bataille décisive près d’Austerlitz – la bataille de Stoky entre Nemecky Brod et Jihlava. Après la déclaration de l’armistice, ils furent contraints de se retirer de la ville de Jihlava sous occupation. Le premier rapport concernant la victoire arriva à Paris tout juste une semaine après la bataille mais les français ne commencèrent à se retirer de la Moravie et des pays de l’Autriche pas avant le mois de janvier 1806. La Grande Armée se retira vers le Rhin ; seul le monarque accompagné par sa garde arriva jusqu’à Paris.

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Ecran C, animation d’ordinateur 1 : Disposition finale des armées au 3 décembre 1805

Vitrine C8 : Bratislava/Presbourg

Les négociations de paix entre la France et l’Autriche, commencées à Brno, furent déplacées à Bratislava (Presbourg) à cause d’une épidémie de typhus. Le 26 décembre fut signé le traité qui termina la guerre de la troisième coalition contre la France.

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Ecran C, animation d’ordinateur 2 : Les principales opérations militaires après la bataille d’Austerlitz

Ecran C, animation d’ordinateur 3 : La bataille de Stoky

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Ecran C, animation d’ordinateur 4 : retrait des Russes

Ecran C, animation d’ordinateur 5 : retour de la Grande Armée

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Le paysage du lieu de la bataille

Le lieu de bataille s’étend sur une superficie de quelques dizaines de kilomètres carrés. Depuis 1992, il représente une zone historique protégée. Celle-ci couvre une zone cadastrale de plus d’une vingtaine de communes.

 

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Vitrine C1 : La plaque commémorative accuse …

En 1995, cinq délinquants entre 15 et 18 ans ont réussi à voler et à vendre la plaque dans un centre d’achat de matières premières à Brno. Grâce à l’effort du directeur du Musée de la région de Brno et à la coopération de la police de la région de Brno-province et la police autrichienne, la plaque a été retrouvée dans un dépôt de ferraille près de Vienne et renvoyée en République tchèque … (Aujourd’hui vous trouverez à Zuran une copie de la plaque commémorative.)

 

 

 

D – LES RÉPERCUSSIONS ET TRADITIONS DE LA BATAILLE

 

Vitrine D1 : Les premiers rappels à la bataille et à la tradition

« Plaignons Dieu – je connais un cimetière, un vaste cimetière, de quatre heures de route de longueur, de deux heures de route de large ; je connais un cimetière où des milliers de morts reposent : des fils, des frères, des pères – et personne ne les éclaire et personne ne prie sur ces tombes … ! Ce sont des tombes oubliées, des gens morts sur le vaste champ de bataille de Pratzen … ! » (Alois Slovak, le 2 novembre 1896)

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Vitrine D2 : Exposition régionale et napoléonienne

En 1931, fut inaugurée à Slavkov l’ « Exposition régionale et napoléonienne ». Elle éveilla un vif intérêt. Pendant seulement trois semaines, elle fut visitée par plus de 70 000 personnes.

 

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Vitrine D3 : Les jeux napoléoniens à Slavkov u Brna

Les premiers « Jeux napoléoniens » eurent lieu au début du mois de septembre 1933 dans le parc du château. Le grand succès des jeux a mené à leur reprise en 1935. Les Jeux napoléoniens eurent lieu encore une fois en 1937, cette fois à Znojmo. L’occupation allemande de la Tchécoslovaquie en 1939 empêcha la reprise des jeux.

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Vitrine D4 + 5 : Les Jeux napoléoniens de nouvelle époque

Après 1948, le régime communiste s’est rendu maître de la vie politique, économique et entièrement même de la vie sociale et interdit pendant très longtemps d’organiser des événements comme ceux des années trente. Les nouveaux « Jeux napoléoniens » organisés par un petit groupe de patriotes locaux eurent lieu dans la deuxième moitié des années 70 du 20e siècle. La révolution de 1989 a permis de renouer avec les anciens Jeux napoléoniens, 50 ans plus tard, en toute liberté et dimensions jamais vues avant.

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Vitrine D6 : Sur les pas d’Alois Slovak

La conscience de l’appartenance au lieu de naissance ou de point d’action et son histoire était le déclencheur d’activités des dizaines de chercheurs et de collectionneurs. La première et la plus importante place revient au frère servant Alois Slovak. La liste de ses successeurs est très longue. Voici quelques noms en ordre alphabétique (…) mais ils représentent tous le vrai « sel » de ce pays.

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Vitrine D7 : Saviez-vous que …

… c’est probablement à la campagne de 1805 qu’on doit la création du costume traditionnel masculin de Vracov.

… c’est d’après la bataille d’Austerlitz qu’a été baptisée une petite commune dans une région atypique couverte de collines et de forêts au Pays-Bas (= commune d’Austerlitz au Pays-Bas).

.... une conséquence de la campagne de 1805 est un produit assez commun ayant très peu de rapport avec les guerres napoléoniennes (= préparation alcoolisée à base de plantes « Francovka »).

… le jeu de société pour deux joueurs « Slavkov » était fabriqué dans les années 80 du 20e siècle dans la manufacture Disk Ricany.

… on peut trouver le nom d’Austerlitz sur une des pierres tombales du cimetière juif à Prague.

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Vitrine D8 : Associations et sociétés

Pendant la première moitié des années 30 du 20e siècle, plusieurs associations et sociétés napoléoniennes furent créées. La guerre arrêta leur activité. Les débuts timides de nouvelles activités des participants ainsi que des groupes réapparaissent dans la deuxième moitié des années 60 du 20e siècle. Après l’année 1989, furent fondées quelques institutions à différents buts et orientations – Société napoléonienne tchécoslovaque, Société d’utilité publique Le Monument de la Paix – Austerlitz et Projekt Austerlitz.

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Vitrine D9 : Les pèlerins de la paix

Le champ de bataille d’Austerlitz est visité non seulement par les amateurs et par les connaisseurs réputés de l’histoire militaire du monde entier mais aussi par les gens qui comprennent le symbole de la piété comme une opportunité pour la propagation de l’idée de la paix.

Vitrine D10 : Donne-leur le repos éternel, Seigneur …

La tradition des actes de piété pour rendre honneur aux morts au Monument de la Paix Des années trente. La guerre et le régime communiste après 1948 ont empêché la réalisation de tous les événements commémoratifs publics pour de longues années. Le changement est arrivé dans la deuxième moitié des années 70 du 20e siècle. Leur organisation a repris en 1990.

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Vitrine D11 : Va-t-on trouver le trésor d’Austerlitz ?

Le champ de bataille a inspiré un grand nombre d’histoires et de légendes. La plus « tenace » est probablement celle du trésor russe enterré, d’après la légende, par le régiment Prézibrajenski pendant son retrait.

 

A - Histoire du monument de la paix
B - La mémoire historique
C - Le champ de bataille
D - Les répercussions
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